L’isolation des bâtiments est un bon moyen de gagner des classes de DPE et de faire des économies d’énergie tout en permettant plus de confort pour les usagers.
Il n’existait pas sur le marché un plafond qui apporte à la fois une réponse coupe-feu et une réponse acoustique. Désormais, la solution Knauf offre ces deux avantages, particulièrement appréciables lorsque la nature du local l’exige. Explications.
Les ponts thermiques constituent une problématique récente dans l’histoire de la construction, liée notamment aux réglementations successives. Avec le renforcement de l’isolation de l’enveloppe, leur impact ne cesse de progresser et on estime aujourd’hui qu’ils constituent de 10 à 40 % des déperditions d’un bâtiment. Outre les exigences de la RT 2012, il est donc impératif de les traiter. Et les solutions existent.
Pour que les particuliers puissent financer des travaux de rénovation énergétique, il existe le Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique (CITE) ou l’éco PTZ. Mais avez-vous déjà évoqué avec vos clients les Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) ? Un vrai avantage pour eux, surtout s’ils sont de condition modeste.
Au fil des années, la base INIES est devenue une base incontournable et un outil essentiel pour analyser les produits et les équipements de construction et évaluer la performance environnementale des bâtiments. L’expérimentation E+C- et la nécessité de disposer de FDES fiables n’ont fait qu’accentuer son importance.
Le CEE (Certificat d’Économies d’Énergie) est un dispositif mis en place dans le cadre de l’application du protocole de Kyoto et de la loi POPE (Programme fixant les Orientations de la Politique Énergétique). Après onze années de fonctionnement, le CEE a entamé sa 4ème période le 1er janvier 2018 (jusqu’au 31 décembre 2020). Souvent vu comme un dispositif lourd et fastidieux, il représente pourtant une aide importante pour les particuliers et les entreprises qui souhaitent réaliser des travaux d’économies d’énergie dans les bâtiments.
L’édition 2013 de la norme NF S 90-351 (actuellement en vigueur) prend mieux en compte les diverses activités des hôpitaux et cliniques, et n'est plus autant focalisée sur le bloc opératoire comme celle de 2003. Elle est devenue un outil précieux pour les architectes.