Afin de faciliter le travail des concepteurs et des installateurs, le SNIP (Syndicat National des Industries du Plâtre) avait mis en place en 1999 des valeurs génériques de performances acoustiques pour les cloisons en plaques de plâtre sur ossature[...]
Que ce soit dans les hôpitaux, les cabinets dentaires ou les cabinets de radiologie, le plomb est la matière la plus utilisée pour répondre aux exigences de protection contre les rayons X. Mais il existe une solution Knauf sans plomb, beaucoup plus pratique et plus économique : Safeboard
Les infections nosocomiales représentent aujourd’hui un problème de santé publique. La propreté est alors devenue un critère important à prendre en compte dans la conception d’un établissement de santé. Avec, pour double objectif, de protéger les zones à risques et de procurer un certain confort aux patients et aux équipes.
Au-delà des questions de conception architecturale, il est important de bien connaître les contraintes techniques pour la conception et la construction d’une salle d’imagerie médicale. Pour cela, la norme NF C15-160 demeure le document de référence.
Les restaurants et les bars doivent résoudre le même problème acoustique : la conversation dans ces locaux est bruyante et les clients doivent parler plus fort pour se faire comprendre. On appelle ce phénomène « le brouhaha ». La réverbération dans la pièce est importante à cause d’une quantité insuffisante d’éléments absorbants.
Dans un établissement de santé, le service d’imagerie médicale est la première destination du plateau technique, tous patients confondus. Entre contraintes architecturales, gestion des flux et choix des matériaux, les données à prendre en compte sont nombreuses.
Quoi de plus désagréable que de devoir hurler pour tenter de se faire entendre au cours d’un repas ou lors d’une soirée dans un bar ? Entrave aux échanges, désagrément, nuisances pour la santé, la mauvaise acoustique des bars et restaurants a également des répercussions sur leur fréquentation. Et pourtant les solutions pour y remédier ne sont pas si onéreuses ! Encore faut-il que les maîtres d’ouvrage en soient convaincus.